La place des TIC dans le secteur d’éducation en Afrique

En Afrique, l’enseignement supérieur a apporté une formation importante des ressources humaines requises, un atout majeur au système éducatif et à la fonction publique. Au Burkina Faso, on décompte plus de quatre(4) Universités publiques et plus de quinze (15) écoles supérieures Privées.

Sur le continent, il existe plusieurs projets académiques tels que :

L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF); qui a implanté l’Université Virtuelle
Francophone (UVF) après le Sommet de Hanoi de 1997.
L’Université Virtuelle Africaine (UVA),
L’OLPC (One Laptop per Child), un projet bien noble qui peut sortir l’Afrique du
manque de l’infrastructure matérielle ; cependant, ce projet se détourne de son fond réel et
devient plus commercial.

L’outil informatique est par excellence le domaine de développement dans ce secteur, alors, ne pas en posséder est source de limites. L’Afrique, continent en voie de développement, cherche des voies et moyens pour posséder toutes les infrastructures matérielles nécessaires et suffisantes, d’où l’ordinateur, pouvant lui ouvrir des grandes voies.

L’Afrique bien qu’en retard technique possède tout de même des ordinateurs dans des classes ; cependant, ces classes se trouvent dans des centres urbains possédant l’électricité et autres infrastructures environnentales complémentaires. Cependant, Le réel problème qui se pose, c’est la non accessibilité à toutes les fonctions et les services de l’ordinateur; en exemple le service Internet.

L’accès Internet ouvre l’Afrique au monde exterieur; cela permet en exemple aux Africains de bénéficier de la formation virtuelle à distance. La formation à distance coûte très chère, seuls les professionnels occupant des postes de direction ou chefs de services peuvent y faire face financièrement. Cependant, il est bien rare que des étudiants en fin de cycles universitaires, niveaux licences, puissent s’inscrire pour la poursuite en Master, MBA,…. Ce fait est loin d’arranger l’Afrique et les Africains dans le besoin de faire un troisième cyclen, les niveaux de référence .

Pour cela, je plaide personnellement une baisse des coûts des cours en ligne ou la création d’une très grande Université Virtuelle Africaine (UVA), nouvelle version, gérée réellement par les Africains, ce qui sortira l’Afrique des joues de la colonisation virtuelle. L’UVA actuelle à des cours qui regroupent tous les domaines d’enseignements mais malheureusement pas assez ouverte à tout le monde vu les goûts. Pour contrecarrer cela, l’Afrique doit valoriser les techniques nécessaires pour créer des serveurs et effectuer la mise en ligne des cours dynamiques destinés aux Africains ; le drame est qu’il manque que la volonté politique et la détermination, ce qui d’ailleurs est la source de tous nos maux.

Tout de même, le progrès des TIC en Afrique suit son cours de chemin ; les ordinateurs et l’accès internet sont réels, même de façon insignifiante, pourraient contribuer à combler certaines lacunes de l’enseignement.

Par ailleurs, le problème qui se pose dans l’usage des TIC est le suivant :

L’orientation succincte ou l’utilisation positive des TIC par les usagers.
Le manque d’infrastructures environnementales pour son insertion dans tous les
secteurs scolaires et sociaux.

Le souhait, c’est l’apport des ordinateurs dans tous les milieux académiques, la source du savoir, aussi; l’Afrique doit se battre pour s’insérer dans le monde de la technologie et se prendre en mains dans son indépendance virtuelle.

Document : http://atelier.ning.com/profiles/blogs/reconnaissance-des-diplomes

Abdramane COMPAORE.
http://afric-teach.blog4ever.com

Criminalité Informatique

la cybercriminalité, ensemble des techniques d’attaques malveillantes, est un fléau qui prive l’homme du 21 ème siècle à toute liberté virtuelle quelque soit son lieu de résidence; alors, il est temps de tout mettre en oeuvre pour mieux la combattre. Les malwares sont la source de diverses attaques à distance et des inconvénients.

les « malwares« , logiciels malveillants, circulent sur le réseau et font des victimes sans cèsse de jours en jours.

Ils sont capables d’épier ou de voler des:

– mots de passes,
– numéros de carte de crédits,
– documents confidentiels.

Pire, ils peuvent entrainer la suppression de fichiers systèmes, alors, ce qui peut provoquer un dysfonctionnement ou arrêt total du système informatique.

Les malwares exploitent généralement les failles aux niveaux des softwares, ainsi, la mise à jours des applications doit être de rigueur.

les utilitaires (malwares) pouvant nuir aux softwares sont:

– exploits,
– spywares,
– spyboots,
– adwares.

Les techniques d’attaques cybernétiques exploitées sont:

– botnet,
– SQL injection,
– back door,
– deni of service (DDOS),
– brutes forces,
– phishing,
– sniff,
– scam.

cependant, les techniques défensives sont:

– honeypots,
– IDS,
– firewalls,
– antivirus.

Pour contrecarrer les violations informatiques; il faut tout d’abord procéder à la sensibilisation et à la formation des « utilisateurs » par rapport aux risques et aux inconvenients.

Aussi, il faut voter des lois internationales devant sanctionner les actes malsains sur internet; cela va dissuader les crimes cybernétiques.

Enfin, les professionnels en informatiques doivent permettre la mise en place d’un RSSI, qui se chargera d’investigation, de propositions des solutions adéquates et des solutionnements techniques des problèmes.

COMPAORE Abdramane.
http://afric-teach.blog4ever.com

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